Domestiqués depuis
des lustres, depuis on ne sait quand en fait, les chevaux coûtent
néanmoins chers : seuls les riches Laboureurs, les bourgeois
et la noblesse (quand elle n'est pas trop ruinée) ont réellement
les moyens d'en posséder. Les moins fortunés préfèrent
avoir un âne, une mule ou un boeuf (pour les labours). De
cet état de fait, nombreux sont les commerçants et
aubergistes qui louent des chevaux aux moins riches pour les relais
de postes ou pour la saison des labours.
L'aspect des chevaux varient beaucoup, entre le lourd cheval de
guerre ou de labour et le vif et mince coursier...
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